Le mini un plan galère ? Ne lisez pas les
récits d’Arthur Léopold Léger et Gwénolé
Gahinet si vous n’y êtes pas préparé. Dans un environnement ou la raison n’a plus sa place, seuls ceux qui ont vécu ces expériences peuvent juger de s’ils
ont eu raison ou pas de prendre leurs décisions.
Un convoyage vers
l’ouest dans les Cantabriques au mois de novembre, c’est pas prévu dans la job
list. Mais ce qui est important dans une job list, c’est souvent ce qu’on n’a
pas mis dedans. Surtout pour enchainer 3 600 milles juste après…
Petits bateaux, petits ennuis, passes ta mini
d’abord disent les anciens… Les ministes passent pour des branleurs, on ne
comprend pas les trajectoires pour boucler la première, demi étape. Un demi
cerveau fatigué sans ordinateur avec barbules de vent sur position GPS et iridium,
fonctionne aux pots de yaourt du téléphone arabe et ne peut pas savoir ce qu’il
se passe. La dépression n’est pas que synoptique elle est aussi nerveuse !
En série, un gars fait une régate devant, et
ceux qui convoient des chaluts à travers l’atlantique reviennent bien après des arrêts buffets. En proto, la mini joue avec son mythe.
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