L'émargement est un rituel habituel des courses à la voile:
avant de s'en aller en mer, on se compte. En Mini, il ne s'agit pas seulement
de signer en face du nom de son bateau. Comme on se rend à l'autel sacrificiel,
les coureurs viennent déposer le symbole d'une vie de terrien, leur téléphone
portable. Après, ils traînent sur le ponton, ne parlant plus qu'à ceux qui
partent aussi. Et puis montent à bord.
Les conditions météorologiques que vont rencontrer les
coureurs ces premiers jours ne seront pas propices à l'introspection publique
sur 72. Rivés à la barre, panneau de descente fermé, concentrés autant que
possible après déjà de longues heures de glisse pour placer son étrave sur le
terrain vague, les ministes vont rapidement basculer dans une belle solitude.
Bon voyage !
Oh Lucas, tu parles si bien!! Dada
RépondreSupprimerelles vont faire du dégât ces premières heures vu les conditions rencontrées. croisons les doigts.
RépondreSupprimerHallucinant la vitesse d'Aymeric et des séries en général !! ça envoie ! Yeah !
RépondreSupprimerEve
on peut avoir une idée de la mer en allant sur le site de la Transat el gringo.Les class 40 sont à peu près dans le même secteur, il y a une photo prise à bord de SNCF Géodis assez parlante.
RépondreSupprimerça fait gros pour nos trottinettes. Etienne